Rechercher
Rechercher

Universités

L’Université libano-canadienne (LCU) lance des programmes innovateurs et originaux

La (LCU) mise sur le développement de nouvelles formations originales qui répondent aux besoins du marché. Son but ? Permettre aux étudiants de s'intégrer facilement dans le monde du travail. Les programmes reposent surtout sur le partenariat avec des établissements d'enseignement supérieur européens et nord-américains. Le point avec le président de l'université, le Dr Roni Abi Nakhlé.

L'université libano-canadienne propose trois cursus innovateurs.

Quels sont les cursus originaux, proposés par l'université, qui répondent aux « nouveaux métiers » dans le marché ?
La LCU propose trois cursus innovateurs dans le domaine de l'ingénierie, de l'hôtellerie et de la médecine :
• Un bachelor en administration des affaires, option tourisme et hôtellerie, en partenariat avec l'École hôtelière de Genève (EHG), reconnue parmi les cinq meilleures écoles d'Europe.
• Un bachelor et un master en relations diplomatiques, stratégiques et défense, établis en partenariat avec le Centre d'études diplomatiques et stratégiques de Paris, le CEDS.
• Deux formations en génie topographique et en génie biotechnique.

 

Le bachelor en tourisme et hôtellerie
En septembre 2016, la LCU va lancer ce bachelor étalé sur trois ans, « qui va assurer à l'étudiant une formation de haut niveau dans les domaines de l'hôtellerie et de la restauration, affirme le Dr Abi Nakhlé, précisant également que des professeurs de l'EHG viendront au Liban enseigner quatre formations, un "plus" non négligeable vu l'expérience et le savoir-faire des Suisses dans ce domaine. Les étudiants de ce bachelor bénéficieront alors d'une double reconnaissance de leur diplôme : au niveau du canton de Genève et au niveau du Liban ». Pour ce qui est des stages des étudiants et de leur formation pratique, le président de l'université affirme que la LCU a signé une entente avec la chaîne d'hôtels Phoenicia/Vendôme et le domaine du Château de Kefraya, « qui va leur permettre de se familiariser avec le monde du travail qui les attend ». Par ailleurs, un échange avec l'École hôtelière de Genève est également proposé à ceux qui désirent entreprendre leur stage dans le cadre du restaurant de l'EHG, en Suisse. Parallèlement, l'université entreprend la construction d'un hôtel et d'un restaurant dans le campus de Hadeth, qui va offrir aux étudiants la possibilité « d'expérimenter le fonctionnement des différents types de cuisines dans le laboratoire situé près de l'hôtel ».
Abordant les multiples débouchés de cette filière, Roni Abi Nakhlé précise qu'ils sont « très vastes et vont de la restauration, qui constitue la part la plus importante du secteur, aux différents départements des grands restaurants gastronomiques, ou encore aux domaines de l'hôtellerie et du management ».

 

Le bachelor et le master en relations diplomatiques, stratégiques et défense
Comme son nom l'indique, ce bachelor lancé en 2007 forme des conseillers en politique, en stratégie et en défense. Il y a un an, la LCU a créé le master en relations diplomatiques, stratégiques et défense, qui est « une valeur ajoutée en vue d'une carrière plus avancée en termes de conseiller dans les grandes compagnies ou dans le domaine diplomatique, précise Roni Abi Nakhlé. L'étudiant peut venir d'une formation de droit ou de sciences politiques, et même d'une formation militaire. Établi en partenariat avec le CEDS, un centre français reconnu internationalement, ce master va permettre aux étudiants d'obtenir un double diplôme reconnu par la LCU et par le CEDS. »

 

Dans quels domaines pourront-ils exercer ?
« Ils peuvent travailler en tant que conseillers auprès des ambassadeurs ou des consuls, auprès d'institutions publiques ou privées, ou encore dans de grandes compagnies et entreprises internationales, pétrolières ou gazières à travers le monde, qui ont toujours besoin de personnes spécialisées en stratégies », affirme le président de l'université.

 

Le bachelor en génie topographique
La LCU est la première université au Moyen-Orient à former des ingénieurs spécialisés en topographie maritime pétrolière. Après une licence de trois ans en ingénierie, l'étudiant pourra entreprendre un master qui lui permettra, au bout de cinq ans d'études, d'obtenir la formation d'ingénieur topographe, qui n'existait pas au préalable au Liban. « Ces étudiants pourront exercer dans des bureaux d'ingénieurs ou dans les municipalités, ou encore dans n'importe quel projet d'urbanisme, car aujourd'hui tout permis de construction requiert la présence d'un ingénieur topographe sur le chantier. La loi vient récemment d'être votée. »

 

Le bachelor en génie biotechnique
« Tous les gouvernements des pays avancés se penchent sur deux priorités : la lutte contre la pollution et la prévention médicale, poursuit Roni Abi Nakhlé, précisant que la LCU est la seule université au Moyen-Orient et au Liban à former des ingénieurs en biotechnologie. L'étudiant peut entreprendre une licence de trois ans en sciences de l'ingénierie, option biotechnologie, et poursuivre avec un master en deux ans, pour obtenir une formation dans ce domaine ». Les étudiants pourront exercer par la suite dans le cadre de laboratoires médicaux spécialisés en biotechnologie, où ils entreprendront une simulation informatique qui permettra de détecter avec un taux de réussite de 95 % les maladies infectieuses que peuvent développer les patients dans les six mois à venir.

 

 

Quels sont les cursus originaux, proposés par l'université, qui répondent aux « nouveaux métiers » dans le marché ?La LCU propose trois cursus innovateurs dans le domaine de l'ingénierie, de l'hôtellerie et de la médecine :• Un bachelor en administration des affaires, option tourisme et hôtellerie, en partenariat avec l'École hôtelière de Genève (EHG), reconnue parmi les cinq...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut